Enfant maltraité ! Salut à vous chère internaute, aujourd’hui, nous allons aborder un sujet très délicat en ce qui concerne la maltraitance qu’on subit beaucoup d’enfants depuis le bas age, et les répercutions que cela a causé à l’âge adulte.
Dans la société actuelle, beaucoup d’enfant vivent ou bien, on vécut toute forme de maltraitance venant de leur géniteur biologique ou de leur tuteur. La plupart des enfants ayant subi des violences, sont majoritairement des orphelins qui ont fini par trouver refuge chez des tantes ou des oncles après le décès de leur parent. Abandonner à eux-mêmes, ces derniers ont fini par être des esclaves dans les différentes maisons ou ils ont trouvé refuge parce qu’ils n’avaient plus aucune protection. L’ironie dans cette histoire, c’est que ce sont les membres de votre propre famille qui vous font subir cela sans soucier de ce que vous pourrait ressentir, sans tenir compte que vous êtes des enfants qui grandissent encore, que vous n’avez plus de parents et tout ce qui va avec.
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Bien que vous vous en sortiez après des années (pour ceux qui ce sont en sorti bien sûr, puisque la plupart sont mort de maltraitance) cela laisse souvent un gout très amer de la vie entrainant des conséquences grave à l’âge adulte tel que :
- La dépression.
- La tristesse.
- Le stress sous toutes ses formes.
- La solitude.
- Le manque d’affection.
- Et le pire, le manque d’estime de soi.
Alors aujourd’hui sur sujetabout, je vais vous raconter mon histoire, une histoire que j’ai subie depuis mon enfance et qui m’affecte jusqu’aujourd’hui, juste pour montrer à quel point certains adultes sont méchants en vers des orphelins, qui n’ont rien demander en retour, et/ou le seul péché qu’ils ont commis c’est d’être née. Voici mon histoire.
Enfant maltraité : histoire vraie et vécue
Alors, moi, c’est bruno, un garçon ayant eu une enfance difficile avec la deuxième femme de mon père. Pour commencer, mon père a eu trois enfants avec ma mère biologique ; parmi les trois enfants, il y avait des jumeaux, donc moi et mon frère bien sûr. Nous vivions une vie paisible comme toutes les familles, mais de temps en temps, on assistait à des disputes assez violentent entre mon père et ma mère biologique jusqu’au jour où, sans savoir le pourquoi, nos parents se sont séparés. En tant qu’enfant, nous ne pouvions rien comprendre puisque a cette époque, nous étions âgés juste de 4 ans mon frère et moi.
Avec le temps, nous avons juste constaté l’absence de notre mère. Et notre père, pour s’occuper de nous, a dû prendre une ménagère pour s’occuper de nous. Deux ans plus tard, mon frère jumeau est tombé gravement malade, il avait la fièvre jaune et il n’a pas survécu a la maladie. C’est ainsi que je perds mon frère jumeau à l’age de 6 ans. Je me souviens juste l’avoir vu couché sur le canapé au salon, immobile, moi dans ma tête, je pensais juste qu’il était en dormi, pourtant il était déjà mort. Puis, je me rappelle juste avoir vu plein de personnes pleuré sans trop savoir pourquoi, de toute façon, qu’est-ce que j’allais comprendre à ce phénomène, je n’étais qu’un enfant. C’est ainsi que mon frère jumeau fut enterré, et je suis resté avec ma sœur ainé.
Plus tard, mon père a refait sa vie avec une autre femme, et sans vous mentir, c’est là que nos problèmes ont commencé, ma sœur et moi.
Enfant maltraité : la vie avec la femme de mon père
Première partie
Ma mère biologique nous voyait en cachette, on n’a jamais réellement compris pourquoi nos parents s’étaient séparés ; mais comme vous le savez les problèmes de couples non jamais ni tête ni queue. Avec le temps donc mon père a refait ça vie et c’est ainsi qu’une nouvelle femme est entrée dans notre vie.
Mon père, lui, était un homme en tenu, c’est-à-dire qu’il appartenait au corps de l’armée, par conséquent, il était toujours absent dû à ses multiples affectations. C’est ainsi qu’on se retrouvait souvent seul ma sœur et moi avec notre nouvelle mère. Avec le temps, nous avons fini par nous habituer à elle, nous l’appelions maman pour lui faire comprendre que nous lavons accepter en tant que nouvelle mère dans notre vie. Des années après, elle a eu un enfant avec mon père, le nouveau venu dans la famille était un garçon et on s’occupait de lui comme notre propre petit frère sans discrimination.
Mais la triste nouvelle, c’est qu’avec le temps, nous avons constaté que notre petit frère avait un retard mental, en d’autre terme, il ne se développait pas normalement par rapport à son âge, il a commencé à parler très tard et faisait fréquemment des crises. On s’est dit qu’avec le temps les choses allaient s’arranger, mais hélas, il y a certaines choses qui ne s’arrangeront jamais. Voyant que son enfant n’aurait pas une vie normale comme tous les autres enfants, son comportement à commencer à changer du jour au lendemain en vers nous, c’est-à-dire ma sœur aînée et moi disant que c’est nous qui avons rendu son fils ainsi en nous traitant en suite de sorcier. C’est alors que sans trop savoir pourquoi, nos problèmes, on commence, nous étions encore à l’école primaire.
Enfant maltraité : la vie avec la femme de mon père
Deuxième partie
Notre mère biologique, nous ne lavons plus vu durant des années jusqu’au jour où on nous a annoncé qu’elle aussi est morte. Ce qui fait mal dans tout ça, c’est que même mon père ne nous a pas permis d’assister au deuil de notre mère, on n’a jamais su où elle a été enterrer. N’ayant plus de mère, notre vie à basculer dans le n’ayant. Par rapport à notre petit frère, la femme de mon père a commencé à entrer dans les églises de réveil, afin de prier pour que son fils aille mieux.
Des fois, elle nous entrainait de force dans les nuits de prières disant que ma sœur et moi somme des sorciers et que nous avons besoin de délivrances. Ma première expérience désagréable, fut le jour où j’ai fait sciemment d’esquiver une nuit de prière parce que pour moi tout cela n’est qu’une mascarade, la femme de mon père et ma sœur ainsi que mon petit frère sont partis, imaginez-vous une prière qui commence à 16 h et s’achève à 23 h pour des enfants qui doivent aller en classe le lendemain c’est épuisant.
Alors à son retour, ne m’ayant pas vu à la prière, elle s’est mise à battre physiquement durant des heures avec du caoutchouc, imaginez les dégâts que cela peut occasionner sur la peau, je n’étais qu’un enfant, puis elle m’a mise dehors et c’est comme ça que pour la première fois de ma vie, j’ai dormi dehors avec tout le froid de la nuit.
Enfant maltraité : la vie avec la femme de mon père
Troisième partie
Dieu merci, un ami a bien voulu m’héberger chez lui pour la nuit, je faisais juste la classe de cinquième. Quel mauvais cœur cette femme avait. Le lendemain, elle n’a même pas cherché à savoir où est que j’ai passé la nuit, je suis parti à l’école ce jour-là sans argent de beignet, j’ai marché jusqu’au lycée avec des douleurs partout sur le corps, imaginer un peu le traumatisme pour un enfant.
C’était devenu une habitude pour elle de me faire cela, alors j’ai commencé à subir ce phénomène plusieurs fois dans ma vie avec en prime le fait qu’on me laissait affamer et le pire dans tout ça, c’est qu’elle s’en foutait. Si ce n’étaient pas les violences physiques, c’étaient les injures, et toute autre forme de violences. Je n’ai pas eu une enfance normale, au contraire, j’ai commencé à développer des signes de dépression, de stress, solitude, un manque d’affection terrible, car je me sentais vraiment seule au monde.
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Mon père lui, était toujours absent, Dieu seul sait ce que sa femme lui racontait à notre égard, mais je pense qu’il n’a jamais eu vent de ça. Cette femme est devenue mon cauchemar ! des fois quand je tombais malade, au lieu daller avec moi à l’hôpital, elle se moquait de moi et disait que c’est le résultat de ma sorcellerie, je vous jure, ma mort ne l’aurait fait ni chaud ni froid. Elle faisait partie des femmes pour qui rien n’était normal, au moindre problème, elle partait voir des marabouts, je me souviens une fois, elle y était allée avec moi ; seigneur toi seul sait ce qu’on m’avait fait là-bas.
Enfant maltraité : la vie avec la femme de mon père
Quatrième partie
Imaginer un peu une mère qui se moque de vous a longueur de journée, vous insultent, vous demande même si vous allez être aussi comme elle, avoir un travail et consort… Comment un adulte fait pour se comparer à un enfant qui se cherche encore. Coté école, je n’étais pas bête, mais quelquefois, j’étais obligé de laisser les études pour chercher de quoi manger, car on nous laissait affamer ma sœur et moi durant des semaines. Cela avait des répercutions sur mes notes et par conséquent, j’essuyais des échecs scolaires et tout ce qu’on avait en prime c’étaient des moqueries de la part de notre mère avec la fameuse injure, vous êtes des sorciers, mais on était déjà habitué à ça. Même les vêtements, ce n’était pas vraiment ça, mais je faisais avec.
Le peu d’ami que j’ai eu, elle les chassait quand ils venaient me rendre visite, ou lorsque je devais étudier avec eu, elle disait qu’elle ne veut plus les voir ici. Qu’est-ce que je devais donc faire ! Déjà que même les fournitures scolaires, je n’avais pas, je me débrouillais à photocopier les exercices pour traiter les sujets moi-même. Je vivais mal, très mal, j’enviais ceux-là qui étaient dans de bonne famille où il faisait bon vivre, ou les parents s’amusaient avec leurs enfants en voyant cela, je n’avais que mes larmes pour pleurer en me demander pourquoi le ciel me faisait subir tout cela, qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ? pourquoi cette femme était si cruelle envers nous ? pourquoi je me sens si seule ? parfois, je pensais à mon frère jumeau et ma mère biologique en même temps et j’avais les larmes aux yeux.
Enfant maltraité : la vie avec la femme de mon père
Cinquième partie
En tant que garçon, mon corps a commencé à se développer, et je commençais à ressentir certaines choses que je ne pouvais pas expliquer. Je commençais à ressentir une certaine attirance envers les femmes, mais avec qui j’allais en parler ? entre un père qui est toujours absent à cause de son travail, et une femme qui vous souhaite tout le malheur du monde, vous comprenez donc que je ne savais pas à qui me confier, j’ai dû me débrouiller tout seul.
Avec toutes les formes de maltraitances que j’ai subi, j’étais tellement timide et j’avais peur d’aborder une femme, ce qui fait que je laissais tomber par peur d’être rejeté. Physiquement, j’étais mince, je dirai même maigre, vous comprenez ainsi que dans une société où on se fit davantage au physique qu’à la personnalité d’une personne, j’étais très désavantagé et j’essuyais des échecs. J’ai alors appris à vivre comme ça.
J’ai eu ma première relation amoureuse en classe de troisième, j’étais nouveau dans ces trucs-là, j’ai déclaré ma flamme par texto et par surprise, elle m’a accepté. J’étais content grave et en plus, elle était jolie, imaginez ma joie. Mais le problème, c’est que je n’avais pas les moyens pour entretenir une relation, vous comprenez donc que ça n’a pas duré.
Cette relation a juste fais… je crois quelque mois où on s’est juste embrassé une fois. Mais je me rappelle, c’était agréable et c’était ma première expérience ensuite, elle m’a quittée pour un autre juste parce que je ne parvenais pas à l’entretenir, ce fut de ce fait ma première déception amoureuse, cette déception qui vous laisse un gout amer, mais qui était sincère parce que je ne pouvais que donner de l’attention et en retour, j’attendais de l’affection, mais hélas, les choses ne passent pas toujours comme on veut.
Enfant maltraité : la vie avec la femme de mon père
Sixième partie
Après cette déception, je me suis demandé comment je pouvais combler se vide que j’avais dans mon cœur, pourquoi personne ne m’aimait, j’étais prêt à tout pour un peu d’affection, j’avais besoin que quelqu’un me prenne dans ses bras et me sert fort, j’avais besoin de sentir une chaleur, mais tout ce que j’avais c’étaient les coups de la femme de mon père et des jours sans manger. J’ai fini par m’isoler dans mon coin et cela a eu des conséquences néfastes sur ma vie dans tous termes parmi lesquels :
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La tistesse
Je me sentais triste quand je pensais a ma mère biologique et a mon frère jumeau ; je me demandais pourquoi les gens sont heureux et pas moi, seigneur, je n’ai pas choisi d’être ici, c’est toi qui m’as fait naitre dans cette maison, alors pourquoi me faire subir ça ? Je fais des jours sans manger, la femme de mon père me fait passer des nuits dehors sous le froid, pourquoi je n’ai pas une vie normale ? en gros voila des questions que je me posais dans ma tête.
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La Soltude
La solitude est mon quotidien même à l’heure actuelle où j’écris ces lignes. Étant donné que j’ai toujours été rejeté dans ma vie par mes parents, j’ai fini par rester dans mon coin et prendre les choses ainsi. avec les multiples déceptions amoureuses que j’ai eues, ainsi que les maltraitances de la femme de mon père, j’ai fini par tout abandonner.
J’ai compris que ces choses n’étaient pas pour moi et qu’il valait mieux laisser. Toutes mes relations se sont terminé de la même façon, juste parce que je n’avais pas les moyens, la vie est cruelle parfois, l’amour ne suffit pas hélas, il faut l’entretenir ; mais comment entretenir quelqu’un quand toi-même de ton côté, tu es conscient de tout ce que tu vis dans la maison de votre père.
Meme si on vous donne des conseille sur comment surmonter une solitude, je vous assure que c’est une peine perdu quand vous savez qu’au font de vous ça ne va pas.
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La depression
La vie à commencer à me dégoûter, psychologiquement, je souffrais, j’ai commencé à me parler à moi-même dans ma tête, je vous jure, il y a des jours, j’ai pensé à la mort, oui ! mourir pour moi était une solution que de continuer à vivre cela ; pourquoi exister si c’est pour vivre ce genre de vie ?
Mais curieusement, il y avait toujours une petite voie qui me disait : ne pas fait ça !
En cas de stress, je me rongeais souvent les ongles jusqu’à me blesser, mais je continuais à le faire jusqu’à ce que le sang coule et je ne m’en rendais pas compte. Plus tard, en fouillant sur internet, j’ai compris que je souffrais d’onychophagie, une mauvaise habitude de se ronger les ongles.. Voici le lien Pour ceux qui ont ce même problème comme moi et qui veulent en savoir plus sur ce trouble.
Et ce qui fait mal dans tout ça, c’est que vos parents ne remarque rien, personne ne se rend compte que vous souffrez, personne ne remarque les signes d’alerte, personne ne vous demande si vous allez bien, vous êtes abandonné à vous-même. Pour oublier tout ça, j’écoutais toujours la musique.
La vie avec la femme de mon père : septième partie
Un jour, alors qu’on subissait les maltraitances de notre mère, ma sœur a filmé une scène ou la femme de ma mère, mettait main sur moi tout en insultant notre famille paternelle, comme quoi, ils ne sont rien. Dieu merci, les vacances sont arrivées et nous sommes allés les passer chez notre grand-mère, et durant une courte conversation de ma sœur avec ma grand-mère, elle lui a montré les vidéos et ma grand-mère s’est mise à pleurer, puis, elle a appelé mon père ; et un jour, ce dernier a regardé les vidéos de sa femme nous maltraitant, il n’en revenait pas.
Lui aussi s’est mi a pleuré et depuis ce jour, ne nous sommes plus rentré chez nous. Notre grand-mère à décider de nous garder et de s’occuper de nous.
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J’ai repris les études et j’ai finalement eu mon probatoire alors qu’avec la femme de mon père, j’étais à 3 tentatives, mais ça se soldait par des échecs. Puis j’ai pu obtenir mon bac. Ça prouve aussi que parfois pour lieu réussir dans la vie, il faut savoir changer d’environnement.
La vie avec la femme de mon père : huitième partie
Des années après, mon père est tombé gravement malade, il a eu une infection pulmonaire, et il est partie en retraite anticipée, ne pouvant plus nous payer les études, j’ai dû entrer dans la vie active pour chercher ma vie et m’occuper aussi un peu de moi.
Mon père lui, est parti en retraite anticipée et est rentré vivre avec sa femme ; c’est en passant ses derniers avec cette dernière qu’il a réellement vu le visage de celle qu’il avait épousée. Elle lui faisait aussi subir ces maltraitances, imaginer votre père vous appeler et vous dire qu’il n’a pas mangé, qu’il a besoin que vous lui envoyer un peu d’argent pour acheter les médicaments et s’acheter un peu d’eau minérale puisque sa maladie ne lui permettait plus de boire de l’eau standard.
Avec le temps, l’infection pulmonaire s’est aggravé et mon père est mort, mon père est mort par négligence de sa femme qui, au lieu de s’occuper lui, racontait partout qu’il n’est pas malade et qu’il fait semblant. Ainsi donc mon père s’en est allé. Nous sommes devenus orphelin.
Ce qui m’a le plus touché, c’est que mon père ne ma jamais parler de la vie, il ne m’avait jamais parlé de père à fils, aucune causerie éducative, bref, je n’ai jamais passé du temps avec lui.
Toujours dans la même année, 4 mois après la mort de mon père, sa femme décède aussi. Encaisser tout ce choc n’était pas évident, mais on a dû faire avec. Et enfin 5 mois plus tard, ma grand-mère meurt de suite de chagrin et de maladie. Seigneur quelle tragédie, on se retrouve définitivement seul.
Conclusion
En somme, mon but ici n’est d’offenser les femmes en disant qu’elles sont méchantes, non, mon but, c’est de faire comprendre au parent que, souvent, vous négligez certains détaillés qui peuvent fatal à la vie d’un enfant. Je vous en supplie, éduquer et élever les enfants des autres comme si c’étaient vos propres enfants, donner leur même chance de sen sortir comme vos propres enfants, je vous jure le ciel va vous récompenser.
Jusqu’aujourd’hui, malgré que la femme de mon père soit morte, je repense fréquemment à ce qu’elle me faisait, a toutes les formes de maltraitances, a toutes ces humiliations, ces injures, ces douleurs physiques, cette vie d’enfance que je n’ai pas pu vivre et qui m’affecte encore même à l’âge adulte ; cela prouve que la maltraitance à des conséquences graves à long terme.
En définitive, j’espère avoir pu toucher certaine personne parmi vous à travers mon histoire. Si vous avez des commentaires merci de partager votre histoire avec nous comme je l’ai fait et surtout n’oubliez pas de vous abonner pour d’autre sujet tabout.
